Routech AIRBUS Captain Stick

(feature picture courtesy of @voorpreters )

Hi there!

So you’ve finally ended up with a Logitech Attack 3 and a Routech AIRBUS Sidestick and you don’t know what to do next? Here is a little guide based on my experience. In this Guide i assume you’ll use same buttons as i’ve used:

Logitech Attack 3 trigger will be the AIRBUS triger

Logitech Attack 3 button 5 will be the AIRBUS AutoPilot Disconnect

  1. Attack 3 disassembly.

This part is pretty straightforward as you only need to remove all the stick handle screws and use the head of a flat screwdriver to unlock the bottow handle lock, the remove the 5 screws from below the stick base.

– Open the handle, be careful with the cable and boards. 

– Disconnect the 5 cable white connector from the trigger button 

The cables coming from the base are color coded, so i give you this diagram wich will explain you how all the handle buttons connexions are made.

So in my case, lazy as i am – and because i wanted to  keep the original boards – i pulled the cable from bottom of the stick and only removed the trigger button (it take too much space). 

That way it was possible to fit the cables and the two cards in the base of the joystick:

Then i used some cables to connect to the two sides of each buttons i needed:

  • For the button 5 i simply soldered my cables to the existing connectors of the switch.
  • For the trigger switch, as the removal of the switch let big holes in the board i took use of these ones to connect my cables:

Something that will be of use for me for later but i removed the small white dented wheel which serve for the rear Z axis so it doesn’t move unintentionally because of the bellow, and because you should not cut the cables – plus it will be of use later if we connect the tiller there)

I also prepared both cable couple and attache them together with a code color so i’ll know wich will be for trigger and wich for AP disengage.

After that i needed to get all the cables back from the base to the handle so i pass them through the cable hole in the handle base to the top of it. That way you can close the Base and this part is done.

Now, the most IMPORTANT part:  

This is when you put the bellow on the base, because after it’ll be too late!

After that, time to connect the handle cable to the base

honestly i let enough cable length to be able to cut and reconnect if needed. i didn’t soldered, just connect and turn cable then use the shrink tube i let around the cables to hold this together.

from the AIRBUS handle:

2 black cables = trigger

2 red cables = AP/disengage

Then i stuffed all the cable lenght inside both base and handle and fixed the handle. and Voilà, Your AIRBUS Stick!  

I am working on a 3D printable box to encase the base of the Attack 3 stick and give it a more AIRBUS finish. The 3D object file will be available for d/l and 3D print from my Tinkercad library.

As you can see it will encase the base of Attack 3 Joystick in a more AIRBUS like case (featuring a dark blue color on bottom – Space Cadet – and side and RAL7031 on top).

There is 1 opening bottom front for the Attack 3 USB cable and one on the rear (for the 180° switch for lefties use)

The bottom rear opening can will be of some use when i’ll be able to design the tiller casing.

There are also 2 holes on one side to add 2 dual concentric differential rotary with push button to take advantage of the unused 10 buttons of the Attack3. casing can be rotate 180° so be used both for righties and lefties as both the Captain or First Officer sidesticks. Enjoy!

I will be working also on a compact desk case for both stick + tiller as soon as i can get a hand on the Routech tiller.

Finally, here you will find PDF Version of this guide.

Hackintosh Mini GTX 1060 avec Wifi+BT

Petite mise à jour sur mon Hackintosh Mini, une carte NGFF WIFI AC+ BT4.1 reconnue sous OSX nativement pour le wifi et avec peut de modif pour le reste

Je vous joint un lien vers mon dossier Clover, qui vous évitera d’avoir à faire toute la recherche que j’ai eu à faire. N’oubliez pas de télécharger les web drivers NVIDIA en vérifiant que c’est bien la version prévue pour votre version de Mac OS.

Ce qui ne marche pas encore / n’a pas encore été testé:

  • le HD audio ne fonctionne que sur le port Displyaport le plus proche des ports USB
  • les paramètre avancés de veille n’ont aucunement été testé à ce jour car je ne met jamais mon ordi en veille (du coup y’a juste la veille de l’écran) (à faire sur une prochaine journée de test)

Ce dossier clover devrait être valable pour tout les MAGNUS EN 10XX de zotac. Il y a des petites modifs à faire pour les versions KabyLake (EN 10XXK) on bosse dessus avec le frangin qui lui s’est prit un EN1070K!

Hackintosh Mini

Sujet en vogue, très bien traité dans le spécial CanardPC Hardware, les Hackintosh reviennent de plus en plus souvent dans les articles des sites ou de la presse spécialisée.

Le principal défit du Hackintosh c’est de pouvoir avoir un ordinateur au plus proche des 100% compatible avec les dernières version d’OSX. Le plus simple est donc de suivre des guides pour faire une configuration sur mesure. Malheureusement cela implique souvent de se limiter à quelques rares configurations pour les portables, au risque d’incompatibilité de certains composants qu’on ne peut modifier, ou de se construire un PC sur mesure, ce qui de facto nous amène à un format tour que je souhaitais éviter.

En grand fan (un peu malmené) du Mac Mini, je me suis mis en tête de monter un Hackintosh Mini. Pour cela je suis parti sur une configuration de Zotac, leur PC Box Magnus EN1060 avec donc une GTX 1060 dedans. Sur le principe on est sur un type de matériel proche d’un portable, avec une carte mère intégrant toutes les IOs. Les seuls composants sur lesquels vous avez la main sont: les barrettes de RAM, le slot SATA et le slot PCIE M.2 pour le sockage, la carte wifi au format NGFF qui peut *heureusement* être échangée (le support des connexions sans fils sont souvent le problème d’un Hackintosh). Le but va être de rendre cette configuration compatible (et en théorie, cela devrait permettre de faire tourner Mac OS sur les EN1060, EN1070 et EN1080 de ZOTAC).

Multibeast un des outils qui vous aide à faire une configuration de base Clover

Je dois avouer que je n’ai pas encore pris le temps de finaliser la configuration (parce que tout ce dont j’ai besoins fonctionne), mais après près de 2 mois d’utilisation, je suis vraiment FAN de ce Mac Mini dopé. Je partais d’un modèle 2014, avec un core i5 (dual) à 2,6Ghz, je me retrouve avec un core i5 (quad) à 2,7Ghz. le reste de la conf aujourd’hui ressemble à cela: un SSD M.2 Crucial de 275Go pour Winwin, un SSD SATA Samsung de 1To pour Mac OS. 16Go de RAM  et un écran 4K Acer. Afin d’avoir accès aux fonctionnalités de continuité, j’ai changé la carte Wifi NGFF de base par une DELL DW1560.

Comparé à un Mac mini en configuration au moins identique (sauf la carte graphique) je suis beaucoup moins cher. Le boitier est moins beau, mais pas horrible, il est à peine plus gros qu’un Mini, et est bien fourni en ports d’extension (1 usb-c 3.1, 1 usb 3.1, 2 usb 3, 2 usb 2, 2 hdmi, 2 displayport, 2 ports ethernet gigabit, une entrée et une sortie audio jack, bluetooth, wifi).

Je tiens à préciser que je ne suis pas un hardcare gamer, je cherche donc pas à mettre tout au max partout et tourner à 60fps ou plus. Pourtant je suis plutôt bien content du résultat obtenu, tant en FULL HD qu’en 4K. En dehors de Guild Wars 2 qui est limité par son client qui n’est pas natif Mac OS (même si cela devrait changer sous peu, pour l’instant c’est de la virtualisation cider, de transgaming -[Update: la beta test du client Mac Natif 64 bit a débuté, on a pas encore dépassé les perfs du client Cider, mais ça avance!]), tous les jeux que j’ai tournent vraiment bien:

Aujourd’hui, il me reste juste deux choses à finaliser avec ma configuration:

  • Vérifier plus en avant les paramètres d’alimentation compatibles avec mon Hackintosh (même si je suis du genre à jamais mettre en veille mon mac)
  • Vérifier les réglages pour avoir le son via HDMI/DisplayPort sur toutes les sorties (je ne l’ai que sur un DisplayPort pour le moment)

Sinon, en dehors de ces quelques détails à régler, je suis aux anges. j’ai un Mac, il est compact, il est puissant, il est pas si onéreux que ça, il est silencieux en utilisation normale, il me permet de gérer un écran 4K en 60ips contrairement au Mac Mini qui se limite à 30ips, et je n’ai pas plus de problème que j’en avais sur mon mac mini.

A savoir que la seule chose à laquelle je dois faire attention, ce sont les mises à jour, car il faut que j’attende que les drivers Nvidia soient à jour avant de mettre à jour le système.

Sinon, en dehors du splash screen Zotac Au chargement de l’EFI, on pourrait jurer que l’on est sur un Mac, et pour les chanceux qui ont un écran 4K, le mode HiRes (Retina) est reconnu avec la carte Nvidia.

 

Avec le thème que j’ai choisis pour le BootLoader CLOVER, on se croirait sur Mac OS

 

Tout est parfait, comme sur un vrai!

 

Je ne vais pas vous partager ici les détails de l’installation d’un Hackintosh car vous pourrez trouver le Canard PC dont j’ai parlé plus haut pour vous aider à cela, sinon je vous conseille le Forum d’Insanely Mac qui est bien plus accueillant pour les néophytes que celui d’en face (qui est malheureusement le plus connu et je suis arrivé dessus en premier avant de passer à Insanely Mac. d’Ailleurs un grand merci à MaLd0n qui m’a énormément aidé à finaliser la configuration sur des choses un peu complexes pour moi).

Je vous joint un lien vers mon dossier Clover, qui vous évitera d’avoir à faire toute la recherche que j’ai eu à faire. N’oubliez pas de télécharger les web drivers NVIDIA en vérifiant que c’est bien la version prévue pour votre version de Mac OS.

 

Toutes les kexts spécifiques sont dans le dossier CLOVER de la partition EFI

Ce qui m’épate le plus avec Clover – comparé aux prémices du Hackintosh avec les 10.4.7/10.5 – c’est que toutes mes extensions “spécifiques” Hackintosh – en dehors des web drivers NVIDIA – sont dans mon dossier Clover dans la partition EFI. Le volume principal “Macintosh HD” de mon SSD est exactement celui qui était sur mon Mac Mini, et si demain je le remet dans un Mac, il me suffira de désactiver les Web driver et il démarrera tel quel.

Pour moi ce mini PC a remplacé mon Mac! Et pour vous?

 

Ubiquiti Unifi

Dès que l’on est un peu au fait des infrastructures réseaux, on se ressent assez vite limité par les outils de base fournis par nos chers fournisseurs d’accès internet. Les “Box” se sont largement améliorées en terme de fonctionnalité et de réglages, cependant elles souffrent toujours d’un manque crucial de personnalisation d’un point de vue technique.

Le plus gênant étant sans doute qu’une même fonctionnalité ne s’utilisera pas de manière identique suivant le modèle et la version de la Box. Je prends pour exemple les transferts de port. Sur Cybercable impossible de transférer autre chose qu’un port ou une plage identique en entrée et en sortie, sur certaines livebox, impossible de faire une ouverture en UDP et TCP sur la même redirection, sur d’autres modèles c’est possible. Et ce n’est qu’un petit exemple, on pourrait aussi penser à l’impossibilité de passer en mode modem sur les NB6 de SFR, et autres.

Enfin, une fois sorti de l’interface web, ne comptez pas faire grand chose.

Finalement, que recherche t on dans une solution réseau plus orienté TPE/PME/SOHO/Power User ? On recherche déjà de l’efficacité, de la fiabilité, une possibilité de faire des choses qu’on ne pourrait pas faire sur du matériel standard (monitoring, agrégat de liens, double WAN, load balancing, failover, etc…)

Evidemment, on recherche tout cela, sans avoir a se diriger dans des solutions trop coûteuses et techniquement inaccessible sans certifications spécifiques (Cisco & cie).

Il existe sûrement quelques solutions, mais, comme j’ai eu la chance de pouvoir tester la solution d’Ubiquiti Networks: Unifi.

La solution de base se présente sous la forme d’un routeur, l’Unifi Secure Gateway, d’un switch, d’un point d’accès sans fil et un contrôleur (on peut passer par l’achat d’un contrôleur Unifi, le CloudKey, ou en monter un maison sur la base d’un Raspberry Pi 3). Ce contrôleur est la clef de voute de l’installation et c’est lui qui va apporter un véritable plus à cette installation, tant en facilité d’installation et de configuration , ainsi qu’en monitoring et en gestion de site.

Tout d’abord, pour un usage de Power User ou SOHO, on en a pour son argent, et cette installation apporte un véritable “plus”. La configuration est simple et on peut meme s’entrainer au préalable en créans son compte sur le site d’Ubiquiti Networks, qui va par defaut vous ajouter son site “demo”. En plus de pouvoir naviguer et tester les fonctionnalités, vous pouvez vous laisser guider par un outil de formation, qui va vous expliquer en long et en large toutes les fonctionnalités, en avançant au gré des chapitres du “Unifi Learning Center”.

Alors, à quoi ça ressemble une fois installé justement? C’est vraiment au Top, l’interface d’administration est accessible via le web (utilisez de préférence Chrome ou Firefox pour y accéder), et via les Apps Ubiquiti Unifi sur l’App Store et sur le Play Store. L’interface est propre et bien lisible, les rubriques sont bien organisées. Il faut juste s’habituer au fait que “Devices” désignes les appareils qui seront contrôlées par le Cloudkey, et que vos appareils connectés sont dans la section “Clients”.

L’interface est très intuitive et se laisse facilement découvrir clic après clic. C’est avec une facilité assez déconcertante, une fois les appareils Unifi connectés, lancés et “adoptés” par la Cloud Key, que j’ai pu définir mon réseau local, organiser mes ip fixes, définir mes redirections de ports, créer un réseau wifi invité ouvert avec un portail captif et un mot de passe simple, nommer proprement tout mes appareils connectés, assigner des IP définies sur le DHCP à certains appareils.

Une fois cela fait, on peut obtenir des graphiques topologiques de son réseau, on peut regarder l’implantation et la portée théorique des points d’accès, en rapport au plan de ses locaux. Les possibilités de configuration et de réglage des outils Ubiquiti sont assez impressionnant.

 

Le plus impressionnant est que si vous voulez atteindre des réglages qui ne sont pas dans l’interface, vous pouvez totalement le faire en CLI (Command Line Interface / Terminal / Shell) via une connexion SSH. Une fois votre configuration spéciale faite aux petits oignons, ce sera à vous de générer un fichier de configuration sur mesure qui permettra au CloudKey de ne pas perdre vos réglages hors-GUI.

Tout est fait pour que vous puissiez configurer votre réseau tel que vous le souhaitez. Je n’ai malheureusement pas encore tout testé, mais j’ai été plus qu’impressionné par l’outil et ses possibilités, par la facilité de mise en oeuvre, et la quantité d’informations remontées.

Le matériel est vraiment complet, le routeur permet de gérer un double lien internet, aussi bien en Load Balancing, qu’en FailOver. Les switch, outre le fait d’avoir un voir plus de port POE pour alimenter le cloud key et les points d’accès sans fils, gère sans problème l’agrégation de lien ethernet, aussi bien en agrégation pure qu’en FailOver. Les bornes pro sont alimentées en POE et seront donc beaucoup plus faciles à installer, impliquant aussi une plus grande simplicité à masquer le câblage.

Clairement, tout ces appareils sont résolument tournés vers le monde professionnel et amènent des fonctionnalités avancées à un prix minime, ce qui peut être d’autant plus pour les TPE/PME qui ont toujours une vision obscure du matériel informatique. Les outils d’Ubiquiti, et son CloudKey amènent du concret et des informations lisibles pour des utilisateurs ayant des bases en réseau.

Pour des utilisateurs avertis, cette suite matérielle et logicielle amène de grande possibilités et une très bonne intégration visuelle dans votre maison/entreprise. C’est un must, et je pense qu’Ubiquiti est une solution à prendre en compte lors du prochain renouvellement de votre infrastructure réseau!

external-GPU J’en ai rêvé, le Thunderbolt l’a fait II

PARTIE II – LA REALISATION

Alors voila, pour commencer simplement a vous guider sur la réalisation je vais vous coller des photos et surtout le schéma de mon montage:

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Schéma pour l’installation électrique et le découpage du boitier.

Outre le boitier Akitio sur lequel le MOD se base et que vous trouverez ici. j’ai du me fournir ces éléments:

J’ai donc fait passer un cable de rallonge PCIe 8 broches sous les cartes logiques du boitier Akitio. Ce cable rallonge je l’ai trouvé chez ldlc, ici.

J’ai eu besoin d’un cable PCIe 6 broches avec un connecteur “profil bas” a 90º pour alimenter la carte et pouvoir fermer le boitier, et je l’ai trouvé ici.

J’ai aussi change le ventilateur d’origine en 60x60x25 par un 60x60x10 que j’ai trouve chez ldlc ici. Je ne suis pas super satisfait de ce ventilateur que je trouve trop bruyant, des que j’en trouve meilleure référence je vous le dis. Toujours est il que ce ventilateur va pouvoir se placer entre l’avant du boitier Akitio et la Grille de façade. pile poil. Du coup on gagne de la place pour la carte graphique ET on conserve la ventilation du boitier.

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Le ventilateur modifié.

J’ai enfin acheté un connecteur type barrel 5,5/2,5 pour alimenter le bus du boitier Akitio depuis mon alim principale, je l,ai trouve ici. (révisez bien votre Allemand! ^^)

J’ai aussi quand même utilise la dépouille d,un connecteur PCI-e pour repiquer une broche mâle et des câbles afin de faire mon court circuit pour allumer une alimentation Dell DA-2 ( on verra ca en dernier)

Le but est d’avoir un système qui s’alimente au choix, soit par une alim Dell DA-2, soit par une alimentation type ATX sur un port PCIe 6 broches. Le principe de l’alim Dell etant plus classe, mais celle que j’ai étant HS, je n’ai pu tester cette partie, et ca fait partie des améliorations a venir.

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La connexion entre le PCIe 8 broches et le PCIe 6 broches se fait au pied du boitier, sous la carte.
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Ici le cable PCIe 6 broches qui remonte vers le connecteur de la carte graphique et le sucre pour le court circuit du power on de l’alim Dell Da2.
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Une fois la carte graphique mise en place.
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Le boitier fermé.
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Et voila avec les trous d’aération temporaire faits.

Donc une fois cela fait j’ai rajoute mon connecteur de type “barrel”, afin de pouvoir auto-alimenter le boitier via le cable d’alim PCIe. J’ai branché la prise et j’ai fait passer le cable derrière les cartes logiques du boitier Akitio pour les souder aux prises masses et +12 respectives de la prise PCIe 6 broches

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Ici la prise PCIe 6 broches avec les arrivees +12 et masse du “barrel”
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De l’exterieur, la prise “barrel” et l’alimentation PCIe et ses 8 cables rouges et noirs.

Pour rappel, comme outils, il vous faut, au minimum: tournevis cruciforme  et plat de petite taille, si possible un kit pour les réparations informatiques, un peu de fer a souder et d’étain, une pince pour couper les câbles, une scie ou un Dremel pour les découpes de la plaque arrière, une perceuse ou un Dremel pour l’aération du boitier.

Voila. Le concept est fonctionnel. Il manquera a faire quelques améliorations:

Un ventilateur moins bruyant.

Une meilleure aération du boitier.

une Alimentation Dell DA2 fonctionnelle.

 

 

To be continued…

external-GPU J’en ai rêvé, le Thunderbolt l’a fait

PARTIE I – LE CONCEPT

Aujourd’hui j’aimerais vous presenter une petite revolution pour vos Mac (et PC): le eGPU, la carte graphique externe.

Ce périphérique jusque la inimaginable, a cause de la limitations de la vitesse des bus externe a été rendu possible par le Thunderbolt.

Aujourd’hui, sur Mac, si vous voulez avoir du materiel avec une bonne carte graphique, vous avez un nombre de choix limité:

Les Macbook Pro retina 15 en version carte dédiée à 2799 euros

Les Mac Pro à partir de 3399 euros

Les iMac 5K à 2099 euros

Ensuite si vous avez un vieux Mac Pro vous avez encore la possibilité de changer votre carte graphique interne. Mais pour les autres?

Vous voulez pouvoir faire des travaux graphiques plus important?

Vous avez un Mac mini ou vous utilisez votre Macbook avec un écran externe?

Vous avez du Thunderbolt 1 ou 2 sur votre Mac?

Alors il existe une alternative qui vous coutera moins cher que de changer de Mac: Le eGPU

 

Ca c'est le résultat final, avec le boitier Akitio sur le cote et le mac mini sous le bureau (et l'alim qui est mon dernier point d'amelioration) mais il a fallut pas mal de boulot avant d'en arriver la. Mais le principal c'est qu'après avoir fait pas mal de recherches et de travaux, j'ai réussi! Désormais mon Mac Mini 2014 TB2 a une Geforce GTX 960 en tant que carte graphique principale!
Ca c’est le résultat final, avec le boitier Akitio sur le cote et le mac mini sous le bureau (et l’alim qui est mon dernier point d’amelioration) mais il a fallut pas mal de boulot avant d’en arriver la. Mais le principal c’est qu’après avoir fait pas mal de recherches et de travaux, j’ai réussi! Désormais mon Mac Mini 2014 TB2 a une Geforce GTX 960 en tant que carte graphique principale!

Ce qu’il faut savoir avant de choisir sa carte:

Cartes Graphiques compatibles

NVIDIA GTX 750
NVIDIA GTX 760
NVIDIA GTX 770*
NVIDIA GTX 780*
NVIDIA GTX 960
NVIDIA GTX 970
NVIDIA GTX 980
NVIDIA GTX 980 Ti*
NVIDIA GTX 1070**
NVIDIA GTX 1080**
NVIDIA GTX TITAN* Black, TITAN X*

* Alim 300W necessaire.
** Seulement sous windows, pas de drivers OSX.

Seulement des cartes graphiques avec connecteur d’alimentation PCI-e (6-pin, 8-pin, 6+6-pin, 6+8-pin).

Cartes Graphiques recommandées ( celles qui rentreront dans le boitier Akitio avec le moins de modifications ):
ZOTAC NVIDIA GTX 960, 2 GB (ZT-90310-10M) or (ZT-90301-10M)
EVGA NVIDIA GTX 960, 2 GB (02G-P4-2962-KR)
EVGA NVIDIA GTX 960, 4GB (04G-P4-3962-KR)
ZOTAC NVIDIA GTX 970, 4 GB (ZT-90101-10P)

Voici quelques images du montage et des tests:

 

nor
ici le chassis interne du boitier,arte, le ventilateur deporte sur l’exterieur, et mon alim dell (defaillante).

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ici test avec une autre alimentation type ATX, et un deport d’alimentation pour la prse type “barrel” du boitier Akitio.

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Malheureusement cette alim la n’etait pas assez stable sur les pics de puissance pour alimenter les deux.

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vue arrière du boitier sans la façade avec le passage des cables alim PCIe sous la carte d’alimentation du boitier Akitio.

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Le boitier propre il n’y a plus qu’a faire des trous pour la ventilation!

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Boitier avec perçage de ventilation faits (à améliorer encore, mais suffisant pour mon utilisation).

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autre vue des aeration du boitier

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avec la façade arrière du boitier découpée pour le passage de cable.

Perso j’ai choisit la GTX 960 de Zotac, ca tombe bien j’en avait une. J’ai juste du demonter le panneau devant les ventilos et bouger le ventilo de la box Akitio en en mettant un plus fin a la place.

Donc on récapitule pour le materiel:

1 carte graphique PCIe

1 boitier Akitio Thunder 2 PCIe

1 cable alimentation PCIe 6 broches profile bas

1 cable PCIe en Y

1 cable rallonge alim PCIe 50 cm

1 alimentation (ATX 300W, ou DELL DA2 220W) – je détaillerais ce point un autre jour car j’ai encore des tests et ameliorations a faire

Si vous faites comme moi un ventilateur 12v de 60*60*10 pour déplacer le ventilo entre la grille avant du boitier et le boitier. je vous mettrais une reference ici des que j’en aurais trouve un plus silencieux que l’actuel.

Prévoyez une perceuse avec des forets pour le metal, voir un Dremel.

Une fois ca fait, il faut savoir ceci:

requis: Yosemite 10.10.3 ou +, El Capitan

Vous aurez besoins du script trouve sur ce site afin d’installer et configurer les drivers:

http://www.egpukit.com/

A savoir qu’il faudra surement démarrer en recovery mode pour désactiver csrutil via le terminal, comme explique sur le journal du lapin.

Mac Mini 2015 avec Geforce GFX 960 2Go - la classe!
Mac Mini 2015 avec Geforce GFX 960 2Go – la classe!

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Le boitier Akitio Thunder 2 dans le rapport système

La carte graphique correctement reconnue sous le rapport système
La carte graphique correctement reconnue sous le rapport système

 

Sous Guild Wars 2
Sous Guild Wars 2

Bien entendu il a fallut bidouiller avec quelques cables pour faire un passage d’alim propre dans le boitier, j’ai sacrifie quelques cables, mais la base de la recherche est la. Dans la seconde partie du dossier, je vous ferais un schema de l’installation ainsi qu’une liste exacte de composants et de ce que vous devez faire avec.

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L’installation complete et (presque) propre

Aujourd’hui, le concept fonctionne, avec les elements indiques, mais je souhaite l’améliorer. Voici les remarques sur ce concept:

  1. Aucun affichage pendant le Boot – tant que le Système n’est pas a la fenêtre de login, vos écrans seront noir ( cependant, un dev travaille sur l’activation de l’affichage a l’EFI, et il a deja réussit a faire une proof of concept sur un modele de Macbook Pro)
  2. Le top du top serait d’arriver a tout faire fonctionner avec une alim Dell DA-2 220W (prévue pour les DELL OPTIPLEX) avec une auto-alimentation du boitier Akitio via cette alimentation. J’ai tente avec une alim d’occasion mais elle ne gérait pas bien les pics d’alimentation, ce qui la mettait en sécurité.
  3. En dehors du fait d’avoir un boitier de plus, je trouve le concept totalement dingue, il n’y a malheureusement qu’avec le Thunderbolt 3 que les fabricants feront des boitiers dédiés (le boitier Akitio n’etant pas prevu pour les cartes graphiques a la base)

PARTIE II – LA REALISATION (soon)

Boitier Xee Connect

Alors que l’on entre de plein pied dans l’air des objets connectés, on oublie souvent qu’en dehors de la maison, une de nos possession et outil principal n’est pas ou peu connecté (ce qui pourrait changer ces prochaines années pour les nouveaux modèles, mais quid des actuels et anciens?): Nos Véhicules, et notamment l’automobile.

Certaines solutions se sont démocratisées ces dernières années avec des modules se connectant sur la prise diagnostique de votre véhicule, avec un protocole de communication suivant l’un des standard OBD2 bien souvent, et communiquant au fil des années avec un ordinateur, un pda, et désormais un smartphone par cable, wifi, ou bluetooth.

Pour avoir eu envie de tester cela, mon premier pied dans le monde de la voiture connectée fut un module Kiwi 2 bluetooth pour smartphones Android et une application principale se nommant “DASH” côté smartphone.

Il existe pleins d’autres applications, certaines bien plus techniques comme “TORQUE” qui arrivent à extraire de la voiture des données qui ne s’affichent nulle part (pression de certains circuits, compression, etc…) les informations GPS et des informations d’erreur du véhicule. Cependant “DASH” me semblait la plus à même d’amener un petit plus sur une utilisation plus “habituelle” de la voiture.

Grace à Dash, on pouvais controler ses trajets, ses kilometres, le dernier emplacement de parking du véhicule, les remontées des informations de conso, de distance et d’autonomie, ainsi que les conseils de conduite, aussi bien sécuritaire qu’éco-conduite.

L’application était géniale mais le boitier… pas des plus pratique (il fallait penser à l’allumer après chaque période d’arrêt à moins que je n’ai pas bien capté cette partie la du fonctionnement). Au moment de changer j’ai hésité entre le Kiwi3 qui effaçait ces défauts, ou passer sur le module (cocorico) Français: le Xee-Connect, ce que j’ai fait.

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Le Xee Connect a l’avantage d’intégrer un gps et une puce data qui lui permettent de communiquer 24/7 avec votre tel. des lors, vous connaitrez suivant votre véhicule plus ou moins d’information. Le mien étant un des moins bien supporté, j’ai ceci: état de verouillage et d’allumage des feux du véhicule avec possibilité d’alerte, suivi des distances parcourues et temps de trajets, localisation en temps réel du véhicule.

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Cela fait certes peu, cependant le constructeur promet des évolutions de fonctionnalités, ce qui s’est confirmé, puisque la fonctionnalité de suivi de parcours est arrivé avec une mise à jour récente de leur application et de leur site.

Vu le tarif, cela semble valoir le coup, et j’avoue que je vais profiter d’avoir affaire à une boite Française pour faire du bug report et des requêtes de fonctionnalités, quitte a leur proposer de faire des tests avec mon véhicule 😀

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Xiaomi Mi Band 1S

Il y a un plus d’un an que j’ai acheté et testé le Mi Band de Xiaomi, et il fonctionne toujours, alors que j’ai vu de nombreux collègues ou amis acheter des bracelets fitness bien plus chers, mais qui avaient du mal a tenir plus de 3 mois.

Je ne suis pas particulièrement soigneux, mais malgré tout, le bracelet a étomi nnamment bien tenu et rends désormais de fidèles service à mon père, puisque moi j’ai choisis d’opter pour le dernier modèle, le Mi Band 1S, le même, avec un capteur de rythme cardiaque, et au même tarif de 13$ (soit dans les 25 à 30$ chez les importateurs).

Ici il n’y a pas de révolution mais une belle évolution sans changer le tarif, et à ce tarif, il faut savoir qu’il n’y a que peu, voir aucune concurrence 🙂

Comme on peu le voir le disign change peu, en dehors d’un boitier un poil plus épais, et du détecteur sur la partie basse, le bracelet Mi Band 1S reste fidèle aux codes de son aîné.

L’application évolue elle aussi, mais peu. On reprochera un placement pas très ergonomique de la fonctionnalité de monitoring du rythme cardiaque “heartrate” à aller chercher dans les menus.

En dehors de cela l’application reste propre et bien fournie en option, avec des petits plus sur les terminaux Android, et certaines fonctionnalités exclusives aux appareils tournant sous MIUI. A rappeler qu’une Application iOS existe aussi!

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Pebble Time Steel – L’autre SmartWatch

Ayant déjà été propriétaire d’une Pebble (la Classic) de première génération, c’est aussi vers Pebble que je me suis tourné quand ils ont annoncé leur nouvelle gamme de montre connectée les Pebble Time et Pebble Time Steel qui forment la nouvelle famille de Pebble avec un écran e-Ink capable d’afficher 64 couleurs et un système opératif revu de fond en comble pour une meilleure expérience et navigation: la Timeline!

Pebble-Time-Watch-IMAGE-EDIT-BY-aBlogtoWatch

Pourquoi la Pebble Time Steel plutôt qu’une Apple Watch ou Android Watch?

Pour le prix d’abord, car à 199$ pour la Time et 249$ pour le modèle Steel au prix publique, soit respectivement 249€ et 299€, elle reste moins chère que la première Apple Watch.
Pour l’autonomie ensuite, car là ou l’Apple Watch et les Android Watch ont une autonomie variant entre 24 et 48h, la Pebble Time Steel peut tenir jusqu’à 10 jours sans recharge.
Pour l’utilisation enfin, car pour moi le véritable intérêt d’une Smartwatch, c’est de pouvoir recevoir et visualiser mes messages n’importe quand pour savoir si c’est urgent ou non. Travaillant en clientèle toute la journée, je ne peux pas sortir mon téléphone n’importe quand, et la smartwatch est un moyen discret de vérifier si j’ai un message de ou concernant mes enfants et mes proches qui nécessiterait mon attention. Je n’ai pas besoins de toutes les possibilités offertes par l’Apple Watch, que ce soit les dessins, les heartbeats, du tactile, etc… De plus ayant déjà un bracelet Mi Band en tant que podomètre et analyseur de sommeil, je n’ai pas besoins de ces fonctionnalités là dans ma montre.

Attention je ne remet pas en cause l’intérêt des Apple Watch ou Android Watch pour autant, mais je pense que chacun a ses utilisations et des produits qui correspondent à cette utilisation, il n’y a pas une seule et unique vérité.

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Aujourd’hui si je devais comparer le paysage des smartwatch à celui des montres classiques, Apple serait du Tag Heuer dans les 500€ et plus, les Android Watch serait des montres de marques plus classiques et moins onéreuses dans la gamme des Tissot d’entrée de gamme, Diesel, et autres marques tendances, et Pebble naviguerait entre les Casio, Swatch et les Festina. Hors il se trouve que c’est exactement le genre de montre que j’ai pu avoir, des Casio, des Festina, et à part une Tissot je n’ai jamais cherché à avoir plus.

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Casio est loin d’être une marque de prestige, et pourtant, en montre digitale, c’est sûrement la marque la plus connue. Et cela ne me dérange pas de me dire qu’aujourd’hui j’ai une smartwatch de ce genre. Elle correspond plus à ma personnalité et à mes besoins.

La Pebble Time Steel vient avec un bracelet en cuir de bonne qualité, mais on peut aussi avoir un bracelet en metal, que j’ai pu avoir pour le même prix étant un des backer de la campagne kickstarter! J’ai choisit le modèle noir, et je suis plutôt agréablement surpris par la qualité de l’ensemble.

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Les bracelets Pebble sont équipés d’un système de fermoir facile pour les changer sans difficultés, mais tout bracelet standard 22mm pourrait être installé par un horloger sans soucis. Un très bon point!

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La recharge de la montre est rapide (environ 2h) et en l’utilisant une semaine complète (7 jours pleins, gardée au poignet allumée la nuit, et mode « ne pas déranger » activé de 23h à 8h) il me restait encore plus de 20% de charge, ce qui correpond à l’autonomie annoncée par le fabricant.

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L’interface de la timeline est vraiment facile de préhension et c’est très agréable à l’utilisation quotidienne. On peut charger beaucoup plus de watchfaces et d’apps que sur les Classic, le tout est encore plus réactif qu’avant et une fois prise en main la navigation à l’aide des quatre boutons appréhendée, l’utilisation est d’une fluidité remarquable.

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J’adore cette Pebble Time Steel, car elle m’apporte la technologie dont j’ai besoins sans trop de contraintes (je peux partir jusqu’a dix jours en déplacement sans la recharger, donc sans trimballer avec moi un chargeur de plus, c’est de la technologie qui sait se faire oublier.

Bon et cerise sur le gâteau, la watchface Treck v3 basée sur l’interface Lcars de Star Trek: TNG est disponible et je le kiffe 🙂

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Enfin pour ceux pour qui toutes ces smartwatch son trop grosses au poignet, ou pas assez féminines pour ces dames, sachez que Pebble vient d’annoncer la Pebble Time Round, une montre ronde, plus petite, plus fine, toujours avec écran couleurs, une autonomie de 2 jours mais une finesse record de 7,5 mm et disponible en différents coloris avec des bracelets 14 et 20mm et le tout au même tarif que la Pebble Steel, soit 249$/299€!

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Synchronisation des montres!!!

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Xiaomi Redmi Note 2 prime

Ca y est j’ai sauté le pas! J’ai lâché le bling bling des smartphone haut de gamme pour passer sur de l’entrée de gamme. Enfin de l’entrée de gamme Xiaomi, ce qui signifie que ce smartphone n’est pas dépourvu de qualités!

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Le Redmi Note 2 a été présenté par Xiaomi le 13 Août 2015 en grande pompe avec MIUI 7 ainsi qu’un nouveau mini routeur wifi et répétiteur wifi. Pour ceux qui ne connaissent pas les gammes Xiaomi, la gamme Redmi est l’entrée de gamme. des téléphones simple de conception, gardant les lignes des anciens terminaux Xiaomi, en plastique (tels que feu les Mi2, Mi2A, Mi2S),  mais complets en terme de fonctionnalités et spécifications.

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Le Redmi Note 2 nous arrive donc avec le design très plastique de ses prédecesseur, mais à l’instar de son petit frère, le Redmi 2, il apporte un petit plus qualitatif avec les nouvelles coques avec teinte mat. Cette coque existe en cinq coloris: blanc, noir, bleu, rose et jaune! La finition est vraiment bonne, même pour un terminal d’entrée de gamme en plastique. Ce n’est pas folichon, mais propre et efficace.

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L’écran de 5,5″ Full HD est très lisible et lumineux. A l’heure actuelle rien n’est sur concernant la vitre mais il est fort probable que ce soit, tout comme sur son petit frère le Redmi 2, une vitre Dragontrail. Le joint qui fait le tour de la vitre, typique des design Xiaomi, dépasse légèrement, ce qui pourra peut être sauver la dalle en cas de chute. Pour ma part, ne faisant aucune confiance à ma légendaire adresse, j’ai commandé une vitre de verre trempé pour protéger la dalle, ainsi qu’une coque de protection pour les voyages tumultueux.

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Sur la tranche droite se trouve les boutons de volumes et d’allumage, en haut la prise jack, le port infrarouge et le micro ambiant, et en bas la prise micro usb et le micro de conversation. Côté face arrière on a un appareil photo de 13 mégapixels de chez Samsung ou Omnivision avec un autofocus à détection de phase et ouverture f/2.2 qui permet de réaliser des clichés de bonne qualité.

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Le haut parleur se trouve sur la partie arrière de l’appareil. Les boutons de navigation sont, à ma grande surprise, rétro-éclairés, ce qui est fort agréable pour moi qui ai connu le Mi2A et le Redmi 1S qui n’avaient pas cette fonctionnalité. Le mobile a bien la classique LED de notification, et une camera/appareil photo sur la face avant de 5 mégapixels pour les selfies.

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Le système est très réactif, comme d’habitude avec la Rom MIUI, en version 7 ici basée sur Android Lolipop, et le  CPU, un Helios X10 de Mediatek, épaulé par 2Go de RAM. L’autonomie de la batterie amovible de 3060mah semble très satisfaisante sur mes premiers jours d’utilisation avec comme seul couac un mauvais étalonage du capteur de lumière ambiante, ce qui fait que le réglage automatique de la luminosité de l’écran s’ajuste difficilement, laissant souvent l’écran bloqué à dans sa luminosité maximale, ce qui n’aide pas a avoir une autonomie optimale… Je confirmerais donc avec les prochaines mises à jour systèmes.

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Lors de l’installation j’ai eu le plaisir de découvrir que le système de sauvegarde et de restauration du “bureau” MIUI depuis MiCloud. Le moins que l’on puisse dire, c’est que – malgré que la fonctionnalité soit plutôt récente – elle est très complète, propre, et à peu près aussi bien intégrée que la fonctionnalité de restauration d’iCloud sur iOS, ce qui est rare dans le monde Android. A une petite coupure près j’ai presque tout récupéré. Connaissant Xiaomi et leur acharnement pour faire des outils propre, une fois finalisé, cet outil sera aussi transparent et facile à utiliser qu’une sauvegarde/restauration iCloud.

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Concernant les photos, on a un peu moins de fonctionnalité que sur les terminaux Haut de gamme sur cet appareil: juste la photographie classique, le HDR, mode panorama, minuteur, le mode manuel, un mode recadrage qui permet de toujours avoir une photo droite, même en tenant l’appareil légèrement penché, les fonctions d’améliorations de visage typique aux appareils asiatiques et le choix des modes de scènes (nuit, portrait, sport, paysage…) comme sur un appareil numérique. De plus une pelleté de filtres video  peuvent être appliqués en live.

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La qualité des photos reste à confirmer mais les premières prises de vues semble tout à fait dans la norme de terminaux milieu de gamme, donc plutôt positif vu le cout de l’appareil. Cette Photo HDR de nuit de l’Opéra à Paris montre que l’appareil ne s’en tire pas mal du tout.

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En conclusion, le Redmi Note 2 est un smartphone d’entrée de gamme qui a tout d’un grand! Il est bien construit et ne manque de rien. Le modèle pour lequel j’ai opté, le Redmi Note 2 Prime, le haut de gamme qui bénéficie d’une capacité de stockage de 32Go ainsi que d’un slot pour Carte SD officiellement compatible jusque 32Go, probablement compatible pour plus, suffira amplement à mes besoins, tout en pouvant se targuer d’avoir un rapport qualité prix incomparable, surtout lorsque l’on voit qu’aujourd’hui, l’entrée de gamme d’Apple est l’iPhone 5S en 16Go à 509€.

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Le Redmi Note 2 a lui l’avantage d’avoir un format proche du 6 plus avec son écran 5,5″ full HD, d’avoir le support double SIM, un support 3G et 4G compatible en France (4G sur la bande de 2600mhz) d’avoir plus de stockage et une possibilité d’extension de ce dernier grâce à la carte SD. Le prix aussi est indéniablement un argument car avec les frais de ports vous pourrez le trouver à environ 195 et 205 euros suivant le modèle sélectionné (modèle compatible FDD LTE 16 ou 32Go), ce à quoi je vous conseilles de rajouter une protection d’écran en verre trempé, et une carte micro SD de 32Go en classe 10 pour le stockage. Au final, entre 230 et 240 euros vous aurez un appareil prêt pour le combat de la vie de tout les jours! Je vous conseille grandement d’acheter sur des sites reconnu fiable, car le marché des téléphones de marque chinois est une jungle opaque pour tout débutant.

Pour ma part, je fais confiance depuis 2013 à iBuygou.com. Vous pourrez trouver tout ce qui concerne le Redmi Note 2 chez eux en cliquant ici.