Overman King Gainer peut paraitre un peu étrange, entre son mecha design hors normes, son histoire peut être un peu tirée par les cheveux et son générique à la limite du kitch.
Le mecha design sort de l’ordinaire, surtout quand on sait qu’a l’origine de la serie se tient le “papa” de Gundam, Yoshiyuki Tomino. Outre les mechas plus terre à terre (engins silhouette, et autres…). Les “Overman” sont plus évolués et plus maniables que ces derniers, peuvent voler et ont des pouvoirs évolués.
L’histoire se déroule dans un futur post apocalyptique, ou la terre n’est plus aussi bleue qu’avant et ou les étendues désertiques (chaudes ou froides), ne laissent pas d’autres choix aux hommes que de s’enfermer dans d’immenses cités protégées par des dômes. Ces derniers étant dirigés et entretenus par de grands conglomératsdu rail, moyen de transport le plus usité.
Hors certains ont décidés de ne pas subir les règles de ces grands conglomérats (London IMA, Compagnie Sibérienne des chemins de fer…). Pour cela ils sont près à partir en exode avec des cités mobiles, tractées par des remorqueurs terrestres, pour un long périple jusqu’a une terre promise plus clémente et qui les libèrera du joug des conglomérats.
C’est la que commence l’histoire, lors du début de l’exode d’un dompolis sibérien vers la terre promise de “yapan”.
On a droit à la légende de la jeune chanteuse ayant mené à bien le premier exode, aux sages qui guident le convois, au mercenaire nonchalant qui souhaite pour une raison précise mener ce convois à son but, au juene héros qui tombe sur l’Overman King Gainer et qui en devient le pilote attitré, protecteur du convois.
L’animation est plutôt bonne, les dessins sont très jolis, et les couleurs aguicheuses. l’ensemble de la série est plutôt bon malgré les répétitions de la première partie, on apprécie très vite les personnages, tous plutôt attachant.